En France, près de 12 millions de personnes en situation de handicap, qu’il soit visible ou invisible*.
Dorénavant, lorsqu’un(e) conjoint(e) / pacsé(e) / concubin(e) notoire quitte le logement en raison de violences exercées au sein du couple ou en raison de violences sur un enfant qui réside habituellement au domicile, il/elle peut ne plus être redevable du loyer, sous certaines conditions.

Il faut attester de la situation de violence. Le/la locataire victime doit envoyer à son bailleur par LRAR :
La solidarité du locataire victime des violences et celle de la personne qui s'est éventuellement portée caution pour la victime, prend alors fin.
Rappelons que jusqu’alors le principe légal s’appliquait, c’est-à-dire que le/la locataire quittant le logement (et son éventuelle caution) devait continuer à payer sa part du loyer :
Article 136 de la loi n° 2018-1021 du 23 novembre 2018 portant évolution du logement, de l'aménagement et du numérique (ELAN), modifiant rajoutant un article 8-2 dans la loi n° 89-462 du 6 juillet 1989

En France, près de 12 millions de personnes en situation de handicap, qu’il soit visible ou invisible*.
En France, près d’1 actif sur 5 est aujourd’hui proche aidant (DREES, 2021). Soutenir un parent âgé, un enfant malade ou un conjoint en perte d’autonomie, tout en exerçant une activité professionnelle, peut vite devenir...